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Le couperet est tombé !

Je fais partie des 10 % de personnes atteintes d’une hernie discale qui, en principe, nécessite une intervention chirurgicale.

Pas de bol, mais alors vraiment pas ! A chaque fois que j’ai un « bobo », il faut toujours que je fasse partie du pourcentage qui développe une complication. Sérieusement, ce n’est pas la première fois, mais je vous évite les détails.

On m’a expliqué que j’avais le choix. On m’a aussi expliqué que quelqu’il soit, le résultat n’était pas garanti… Mais aussi, que plus j’attendrais, plus le risque d’irréversibilité de mon problème de pied serait grand. Ce qui veut dire, risque de boîter à vie !

Tu parles d’un choix.
Je dirais plutôt que c’est un dilemne.
Mais j’ai pris ma décision.

J’ai choisi de le faire,  car je suis encore trop jeune pour ne pas tout faire pour récupérer l’usage de mon pied.
J’ai choisi de le faire, car nous sommes en 2012 et que ce genre d’intervention n’est pas la pire qui soit.
J’ai choisi de le faire, car je n’ai pas envie, un beau jour, d’avoir des regrets en me disant que maintenant c’est trop tard.
J’ai choisi de le faire, car j’ai repéré de jolies sandalettes compensées et que j’adore ce genre de chaussures..

Alors, quand vous lirez cet article, je serai, soit sur le billard ou déjà opérée.  Je fais ma grande, mais j’en mène pas large.

Comme j’en ai pour une bonne semaine à l’hôpital, j’emporte tout mon matos avec moi (appareil photo, ordi, ipad) et j’essayerai de publier un ou deux articles en direct.

😉

Si vous n’avez pas tout suivi, l’histoire commence ici,   puis ici